Le danger [L]

L'étalon crème arrive au galop. Ses sabots frappent délicatement le sol et ses naseaux sont bien dilatés. Ses crins volent au vent et ses muscles roulent sous sa peau. Il se trouve dans l'ombre d'un énorme volcan.

*Il en jette*

Se mit à penser Diégo. L'étalon a les oreilles en arrière mais elles ne sont cependant collé à sa nuque. Le sol tape fort et la chaleur est étouffante. L'étalon cru que ses bronches allait éclater. Mais Diégo ne se laisse pas abattre et part à l'attaque du volcan. Il se met en marche vers le sommet de cette magnificence. Le sol est chaud comme si la lave venait de se solidifier. Bon! Diégo n'avait plus qu'à se dépêcher. Ses pas est conquérant et son visage un rien cynique. Les vapeurs de chaleur émergeant du sol le mouille rapidement. Ses naseaux sont rouges et bien ouvert pour capter un maximum d'oxygène. Arrivé presque au 3/4, l'étalon s'arrête afin de faire une pose et soupira.

- J'ai bien progressé. Je vais faire une petite pause.

Murmura-t-il.

Je me demande encore comment tu fais pour supporter ça. La solitude
à longueur de journée, être sans protection non plus. Quoique, tu n'en
a pas vraiment besoin à te voir. C'est surtout les endroits que tu
visite qui me dérange. Ils sont tous sinistre et dangereux. Des fois
faudrait apprendre au cheval qui te sert de père qu'il existe des
endroits plus... jolis disons?

Je secouais la tête bien décidée à faire taire cette stupide voix qui
n'arrête pas de me parler depuis un bon moment. Les oreilles
complètement collé sur mes crins j'avançais dans de nouvelles terres.
Peut-être était-ce l'endroit rêver pour mettre en pratique tout ce dont
j'ai appris au fil des ans? Soudains, le soleil disparu, enfin à cause
l'ombre d'un volcan. *Quoi de mieux que l'escalader pour avoir une meilleure vue sur les terres.*
Je commençais l'ascension, mais à peine j'avais commencer que la
chaleur qui s'en dégageait m'avait mouillé presque entièrement. Je
continuais de monter malgré tout, plus vite monté en haut, plus vite
redescendu en bas. Comme j'avançais, l'odeur d'un équidé parvint
jusqu'à mes naseaux. *Qui peut bien vouloir monter au sommet du volcan?* Je décidais donc de me rapprocher de l'odeur inconnue sans un bruit. Peut-être une victime?

[Desolee de vous interrompre. Juste pour prevenir qu'il ne faut pas mettre d'accent, de c cedille ou autre chose du genre, sinon le message se coupe au premier qui a ete ecrit. Le beug ne devrait pas persister trop longtemps, mais en attendant mieux vaut eviter de se faire couper les messages. Pour savoir si votre message va etre coupe, faites previsualisation et s'il y a des signes que vous n'avez pas ecrit c'est que votre message va se couper.

EDIT : Beug résolu ;) ]

[ Dsl du double post :D. Merci, Said]

Diégo se reposait depuis longtemps maintenant. Le soleil tapait toujours fort et la lave encore chaude sous la roche chauffait les pieds de l'étalon. Le crème eut un sursaut en regardant le ciel. Il était limpide mais de gros nuages apparraissaient. Une fumée s'échappait du cratère. Le grand crème hispanique allait reprendre sa route quand il sentit l'odeur d'un cheval. Le souffre cachait un peu l'odeur mais bon, il le sentait quand même. Il ne bougea pas et entendit que le cheval arrive près de lui. Ce volcan était à lui... Il en était fier. Il avait enfin son troupeau. Le cheval baissa les oreilles et patienta de voir le cheval qui arrive.

[C'est court mais j'ai une panne :s. Je ferai mieux la prochainbe fois, promis.]

[Merci Saïd!]

Tu compte jouer longtemps à je te surveille et je fonce? C'est pas que je trouve cela plus qu'exaspérant, mais ça y ressemble. De mon point de vu, je préfère entièrement que tu l'ignore et continue ton chemin ou tu y vas point. Pas le temps d'attendre que le gazon pousse pour y aller vas-y fonce ou oublie-le. Épargne moi les détails je veux rien savoir...

Décidément elle me lâchera jamais cette voix, d'ailleurs je me demande d'où elle vient. Enfin bref passons. Je continua d'observer le cheval qui semblait avoir sentie ma présence, malgré le souffre. Je m'avançais tranquillement vers l'inconnu lorsque je remarqua ses oreilles baissées. Je lâchai un petit rire suffisamment fort pour qu'il m'entende et je sorti finalement de ma cachette pas très subtile...

[C'est pas grave, moi aussi je suis en panne en ce moment :D]

Pas de réponse depuis un moment, je lock et déplace.